Madame Cardini Eva

Interview exclusive : Eva Cardini se dévoile

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Pour la première fois sur KLD Voyance, Eva Cardini, la voyante dont les prédictions ont bouleversé la vie de nombreuses personnes, se confie sans filtre. Eva cardini, derrière le mystère qui entoure cette figure fascinante se cache une femme dont le don, découvert dès l’enfance, a le pouvoir de révéler l’invisible et d’anticiper l’avenir avec une précision déconcertante.

Dans cette interview exclusive, Eva Cardini dévoile pour la première fois les secrets de son parcours, les défis qu’elle a surmontés, et les moments qui ont marqué sa carrière. Découvrez comment cette voyante hors du commun, Eva Cardini, est devenue une référence incontournable et pourquoi ses prédictions continuent de fasciner et d’influencer ceux qui croisent son chemin.

Eva Cardini, vous êtes une figure incontournable de la voyance. Pouvez-vous nous raconter comment vous avez découvert votre don pour la voyance ?

Eva cardini :
Dès mon plus jeune âge, des phénomènes étranges et inexplicables ont commencé à se manifester autour de moi. Je me souviens que, même enfant, j’étais capable de ressentir la maladie des personnes avant qu’elles ne se manifestent physiquement. Par exemple, je pouvais dire qu’une personne allait tomber malade, parfois même avant qu’elle ne présente les premiers symptômes. Ce ressenti n’était pas simplement une intuition, mais une certitude qui m’envahissait, souvent accompagnée de sensations physiques ou d’images mentales très claires.

En plus de cela, je percevais des êtres spirituels autour de moi. Ces présences n’étaient pas visibles pour les autres, mais pour moi, elles étaient aussi réelles que les personnes en chair et en os. Ces êtres me parlaient, me transmettaient des informations, souvent sous forme de messages ou d’images que je ne comprenais pas toujours immédiatement. Cependant, ces informations se vérifiaient dans les jours qui suivaient. Par exemple, ils pouvaient me prévenir de quelque chose qui allait se produire, et je voyais cet événement se dérouler exactement comme ils l’avaient prédit.

À l’époque, tout cela me semblait normal, presque naturel. C’était comme si j’avais accès à un monde invisible, parallèle au nôtre, où les lois du temps et de l’espace étaient différentes. Ce n’est que plus tard que j’ai compris que ce don, cette capacité à percevoir l’invisible, était quelque chose d’exceptionnel et qui allait profondément influencer ma vie.

Vous avez mentionné que dès votre plus jeune âge, des phénomènes étranges ont commencé à se manifester autour de vous, Eva Cardini. Comment cela a-t-il influencé votre vie  ?

Eva cardini :
Les premières expériences de mon don ont été à la fois troublantes et marquantes. En tant qu’enfant, lorsque je voyais quelque chose à travers mes visions, j’avais l’impression que je le provoquais. Par exemple, si je percevais la maladie de quelqu’un, et que cette personne tombait malade quelques jours plus tard, je croyais que c’était moi qui avais déclenché cet événement. Cette confusion entre la perception et la causalité était profondément perturbante, surtout à un âge où il est difficile de comprendre la nature de tels phénomènes. J’ai longtemps porté ce sentiment de culpabilité, croyant que mes visions étaient la cause directe de ce qui se passait autour de moi. Ce n’est qu’avec le temps et l’expérience que j’ai appris à dissocier mon rôle de simple observatrice des événements à venir de celui d’actrice de ces événements. J’ai compris que mon don n’était pas une force de malheur, mais plutôt une capacité à percevoir des réalités qui allaient se manifester indépendamment de ma volonté.

Quel a été le moment décisif où vous avez réalisé que la voyance serait une part centrale de votre vie ?

Eva cardini :
Le moment décisif où j’ai compris que la voyance serait une part incontournable de ma vie ne s’est pas révélé par une simple prise de conscience instantanée, mais plutôt par une série d’événements marquants et inexorables. Dès mon plus jeune âge, j’ai senti une force me poussant inexorablement dans cette direction, malgré mes tentatives répétées de m’en éloigner. À chaque fois que j’essayais de refuser cet appel, de m’engager dans une voie plus conventionnelle, des obstacles insurmontables se dressaient sur mon chemin. Que ce soit des problèmes personnels, des échecs ou des accidents inexplicables, chaque détour de mon parcours m’a ramenée invariablement vers la voyance. Ce n’était pas tant un choix délibéré qu’une acceptation progressive du fait que cette voie m’était destinée. L’univers, d’une certaine manière, me rappelait constamment que je ne pouvais échapper à ce que j’étais, à ce pour quoi j’étais née. 

Avez-vous toujours su que vous alliez travailler dans la voyance, ou avez-vous envisagé d’autres carrières ?

Eva cardini :
J’ai ressenti une conviction profonde que la voyance serait au cœur de ma vie. Cette certitude n’était pas fondée sur un simple choix de carrière, mais plutôt sur une reconnaissance intuitive d’une mission de vie à accomplir. Cependant, la forme que prendrait cette mission n’était pas encore claire pour moi. Je savais que mon don devait être mis au service des autres, mais la manière exacte de le faire restait à définir.

Dans cette quête de sens et de direction, j’ai envisagé d’autres carrières, toutes tournées vers l’humain et le soutien aux autres, telles que le droit ou la médecine. Ces professions m’attiraient parce qu’elles représentent des moyens d’apporter une aide concrète et immédiate, de résoudre des conflits ou de soulager des souffrances. Mais, en dépit de l’intérêt que je portais à ces domaines, il est rapidement devenu évident que mon véritable appel ne pouvait être ignoré. La voyance, avec tout ce qu’elle implique de connexion intuitive et de guidance spirituelle, était plus qu’une option parmi d’autres ; c’était l’expression la plus pure et la plus authentique de ma capacité à aider les autres. Ainsi, même si d’autres parcours auraient pu sembler tout aussi honorables et satisfaisants, aucun ne résonnait en moi avec la même force et la même évidence que la voyance.

Quels ont été les moments clés de votre don, Eva Cardini ?

Eva cardini :
Il y a eu plusieurs moments clés dans ma vie qui ont renforcé ma conviction que mon don de voyance était non seulement réel, mais aussi une responsabilité que je ne pouvais ignorer.
L’un des premiers souvenirs marquants remonte à ma douzième année, un âge où l’on commence tout juste à comprendre les complexités du monde. Un soir, j’ai reçu une vision claire des numéros gagnants d’une loterie. Avec une naïveté enfantine, j’ai partagé cette information avec mes parents, espérant pouvoir les aider à sortir de leurs difficultés financières. Malheureusement, ils ne m’ont pas crue, ou peut-être n’avaient-ils pas les moyens de participer à cette loterie. Lorsque les résultats ont été annoncés, les numéros gagnants étaient exactement ceux que j’avais vus. Cet événement a été un tournant pour moi, me faisant prendre conscience du potentiel de mon don, mais aussi des limites de ce que je pouvais accomplir seule.

Un autre moment crucial est survenu lorsque j’avais 21 ans. J’ai reçu un avertissement concernant un grave accident impliquant une personne très proche de moi. Malgré mes efforts pour prévenir cette personne, elle n’a pas tenu compte de mon avertissement, et malheureusement, l’accident s’est produit exactement comme je l’avais prévu. Cet incident a été particulièrement douloureux, car il m’a montré à quel point la voyance peut être à la fois un don et une responsabilité lourde de conséquences. J’ai compris alors que, même si je pouvais percevoir des événements futurs, je n’avais pas toujours le pouvoir de les changer ou de convaincre les autres de les éviter.

Quel est le trait de caractère qui vous définit le mieux ?

Eva cardini :
Le trait de caractère qui me définit le mieux est sans doute l’empathie. C’est cette capacité à ressentir profondément ce que les autres traversent, à me mettre à leur place, qui guide tout ce que je fais. L’empathie me permet de comprendre les émotions et les expériences des gens, ce qui est essentiel dans mon travail. Elle me pousse à être toujours attentive aux besoins des autres, à écouter sans jugement et à offrir le soutien dont ils ont besoin. C’est ce trait qui donne du sens à ma pratique et qui m’aide à établir des liens authentiques

Comment vos proches ont réagi à vos capacités ?

Eva cardini :
Les réactions de mes proches à mes capacités de voyance ont évolué avec le temps. Au début, il y a eu beaucoup de scepticisme, d’incompréhension, voire de peur. Ils avaient du mal à accepter que je puisse percevoir des choses qui échappaient à la logique et à la réalité ordinaire. Certains ont même essayé de me dissuader de poursuivre cette voie, craignant pour ma santé mentale ou simplement ne voulant pas se confronter à ce qu’ils ne comprenaient pas. Cependant, à mesure que mes prédictions se sont réalisées, que les événements que j’avais anticipés se sont concrétisés, ils ont été forcés de reconnaître la réalité de mes dons. Petit à petit, ils ont commencé à accepter cette facette de ma vie, non sans une certaine réserve, mais avec un respect croissant pour ce que j’étais capable d’accomplir. Aujourd’hui, bien qu’il reste parfois des zones de malaise ou d’incompréhension, mes proches ont appris à vivre avec cette réalité et à me soutenir dans mon parcours.

Beaucoup de gens ont des rituels quotidiens. Dans votre cas, Eva Cardini, y a-t-il des pratiques que vous suivez chaque jour pour vous connecter à votre don ?

Eva cardini :
Non, je n’ai pas de rituels personnels spécifiques que je pratique quotidiennement. Pour moi, la voyance ne se commande pas et ne se contrôle pas par des rituels ou des pratiques imposées. Elle se manifeste naturellement, souvent de manière spontanée, en réponse à des situations ou des besoins spécifiques. Je n’ai jamais ressenti le besoin de m’imposer des rituels pour accéder à mon don. La voyance, telle que je la vis, est une capacité qui s’inscrit dans le flux de la vie quotidienne, sans nécessiter de préparation particulière. Elle vient à moi comme une évidence, une connexion naturelle avec ce qui m’entoure, et je me laisse guider par elle au moment opportun, sans chercher à forcer ou à encadrer son apparition par des pratiques ritualisées

Qu’est-ce qui vous a poussé, Eva Cardini, à transformer cette passion en une carrière professionnelle ?

Eva cardini :
Transformer ma passion pour la voyance en une carrière professionnelle s’est fait de manière naturelle. Mon don est devenu de plus en plus présent, et il m’a semblé évident que je devais l’utiliser pour aider les autres. Ce qui m’a vraiment poussée à en faire une vocation, c’est le désir de soutenir les gens dans leurs moments de doute et de difficulté. Pour moi, la voyance n’était pas juste une option parmi d’autres, c’était une véritable mission de vie, un appel que je ne pouvais pas ignorer.

Pouvez-vous nous parler de votre formation ?

Eva cardini :
J’ai toujours eu ce don, cette capacité à percevoir des choses que les autres ne voyaient pas. Pour mieux comprendre et maîtriser ces perceptions, j’ai exploré des disciplines souvent qualifiées d’occultes. J’ai étudié la numérologie, l’astrologie, et d’autres sciences qui touchent au mystère de l’existence. Ces études m’ont aidée à me rassurer sur ce que je ressentais et voyais, à donner un sens à mes expériences.

En parallèle, je me suis aussi tournée vers des sciences humaines comme la psychologie, qui m’ont permis de mieux comprendre les comportements et les émotions. C’est en croisant ces différentes approches que j’ai pu construire une vision plus complète et plus juste de l’accompagnement que je propose aujourd’hui. Mon parcours est le reflet de cette quête de sens, où chaque étape m’a permis de mieux cerner et utiliser mon don pour aider les autres

Avez-vous travaillé avec des personnalités et comment cela a influencé votre carrière ?

Eva cardini :
Oui, au cours de ma carrière, j’ai eu l’opportunité de travailler avec des personnalités de premier plan, notamment des figures politiques, des artistes de renom, et des chefs d’entreprise influents. Ces collaborations ont été très enrichissantes, car elles m’ont offert une perspective unique sur des mondes souvent inaccessibles au grand public. Travailler avec des individus à haut niveau m’a permis d’élargir mon horizon et de comprendre à quel point la voyance peut jouer un rôle crucial dans des décisions de grande envergure.

Ces expériences m’ont également permis de raffiner mon approche professionnelle, car elles demandaient une grande précision et une sensibilité particulière. Bien que la confidentialité ait toujours été au cœur de ma pratique, travailler avec des personnes d’une telle envergure a renforcé mon engagement envers une discrétion absolue, essentielle pour maintenir une relation de confiance.

Cependant, il est important de noter que ces collaborations n’ont jamais modifié ma vision ou mon approche de la voyance. Bien que travailler avec des personnalités connues ait pu m’offrir une certaine visibilité, j’ai toujours veillé à ce que mon travail reste ancré dans les mêmes valeurs d’authenticité et de service. Je n’ai jamais voulu exploiter ces relations pour des gains personnels ou pour accroître ma notoriété. Au contraire, ces expériences ont renforcé ma détermination à traiter chaque client avec le même respect et la même sincérité, qu’il soit une figure publique ou un individu inconnu. 

Si vous pouviez revenir en arrière, y a-t-il quelque chose que vous feriez différemment dans votre vie ?

Eva cardini :
C’est une question complexe, car si je crois fermement que chaque expérience, même les plus difficiles, nous forge et nous apprend quelque chose d’essentiel, il est aussi naturel de se demander si certains choix auraient pu être différents.

Avec le recul, je me rends compte que certaines décisions, prises sous l’emprise de la peur ou du doute, auraient pu être abordées avec plus de confiance et de sérénité. Si je devais changer quelque chose, ce serait peut-être de faire davantage confiance à mon intuition dès le début, de ne pas avoir peur de suivre ce que je savais être vrai, même si cela allait à l’encontre des attentes ou des normes établies.

Il y a eu des moments où j’ai hésité, où j’ai mis en doute mes propres perceptions, simplement parce qu’elles étaient en décalage avec ce que l’on m’avait appris ou ce que l’on attendait de moi. Ces hésitations m’ont parfois éloignée de mon chemin, m’ont fait perdre du temps ou m’ont causé des souffrances inutiles. Avec le temps, j’ai appris à m’écouter plus profondément, à faire confiance à cette petite voix intérieure qui ne se trompe jamais, mais ce fut un apprentissage long et parfois douloureux.

Cela dit, je ne regrette rien. Chaque erreur, chaque détour a contribué à ma croissance, à mon évolution. Sans ces moments de doute ou de difficulté, je ne serais pas la personne que je suis aujourd’hui. Et peut-être que, justement, c’est en vivant ces expériences que j’ai pu développer la compréhension et l’empathie nécessaires pour accompagner les autres dans leurs propres parcours.

Après vos premières expériences marquantes, comment avez-vous décidé de commencer votre pratique professionnelle de la voyance ?

Eva cardini :
Après avoir vécu ces premières expériences marquantes, j’ai senti qu’il était temps de structurer ma pratique de la voyance de manière plus professionnelle. J’ai donc décidé d’ouvrir mon premier bureau dans le sud de la France. Pendant plusieurs années, j’y ai travaillé, rencontrant des gens de tous horizons et aidant ceux qui avaient besoin de clarté dans leur vie. C’était une étape importante, qui m’a permis de vraiment comprendre l’impact que ma voyance pouvait avoir sur les autres.

Ensuite, l’opportunité de travailler à Monaco s’est présentée. Là-bas, j’ai continué à développer ma pratique, en étant sollicitée par une clientèle variée, avec des besoins parfois complexes. J’étais bien établie, avec un réseau solide et une pratique florissante. Cependant, malgré ce succès, j’ai ressenti le besoin de tout recommencer à zéro. Le besoin d’aller encore plus loin en rendant mes services accessibles à un plus grand nombre de personnes. C’est ainsi que j’ai pris la décision, malgré tout ce que j’avais construit, de tout laisser derrière moi pour fonder KLD Voyance. J’ai choisi de repartir de zéro pour créer une plateforme où mes consultations pouvaient être réalisées par téléphone, permettant ainsi d’aider des gens bien au-delà des limites géographiques. Cette transition m’a permis d’ouvrir ma pratique à un public plus large, tout en restant fidèle à ma mission de guider et d’accompagner ceux qui en ont besoin, où qu’ils se trouvent.

portrait Eva cardi

Pourquoi avoir créé le cabinet KLD Voyance ?

Eva cardini :
KLD Voyance est né de deux besoins fondamentaux que j’ai ressentis en tant que professionnelle de la voyance. D’une part, après avoir été bien établie dans des lieux spécifiques, comme le sud de la France et Monaco, je voulais rendre mes services accessibles à un public plus large, sans les contraintes géographiques. 

D’autre part, j’ai ressenti le besoin urgent de proposer une alternative fiable et respectueuse dans un domaine où, malheureusement, beaucoup se sont égarés. J’ai constaté que certaines pratiques, dans le monde de la voyance, s’écartaient de leur véritable vocation pour devenir des moyens de manipuler et d’exploiter la vulnérabilité des gens. C’est une réalité que je ne pouvais plus ignorer.

KLD Voyance est né de ma volonté de créer une plateforme éthique, où l’intégrité et la bienveillance sont au cœur de chaque consultation. Mon objectif était de remettre l’accent sur l’essentiel : une voyance qui guide, qui éclaire, et qui respecte profondément les personnes qui viennent chercher des réponses. Je voulais offrir un espace où chacun se sent écouté, compris, et jamais jugé, en toute transparence. C’est ce désir de revenir aux valeurs fondamentales de la voyance qui m’a poussée à créer KLD, pour que ceux qui cherchent de l’aide puissent la trouver sans crainte d’être trompés

Qu’est-ce qui différencie KLD Voyance des autres cabinets ?

Eva cardini :
Ce qui distingue véritablement KLD Voyance des autres cabinets, c’est notre engagement indéfectible envers l’éthique et notre refus de mettre le profit au-dessus de la mission que nous nous sommes fixée. Dans un secteur où la tentation de privilégier le gain financier rapide est forte, nous avons fait le choix de placer l’humain et l’intégrité au centre de tout ce que nous faisons. Chez KLD, chaque consultation est guidée par une volonté sincère d’aider, de conseiller et d’éclairer, sans jamais céder à la facilité d’exploiter la vulnérabilité des clients pour en tirer un bénéfice excessif.

Nous avons bâti KLD Voyance sur des valeurs solides : transparence, respect, et bienveillance. Contrairement à d’autres qui peuvent voir la voyance comme un simple business, nous la considérons avant tout comme un service destiné à apporter du sens et du réconfort. C’est cette approche, centrée sur l’accompagnement authentique et désintéressé, qui nous permet de créer des relations de confiance durables avec nos clients. Chez KLD, la priorité est donnée à la qualité des échanges et à l’impact positif que nous pouvons avoir, plutôt qu’à la recherche du profit à tout prix. 

Pour ceux qui n’ont jamais consulté, Eva Cardini, comment décririez-vous le déroulement d’une séance typique avec vous ?

Eva cardini :
En réalité, il n’y a pas de séance typique chez KLD Voyance, car chaque consultation est entièrement personnalisée en fonction des besoins et des attentes de la personne que j’accompagne. Dès le début de la séance, je prends le temps d’écouter attentivement, de comprendre les préoccupations et les questions spécifiques du client. Chaque individu est unique, et il est essentiel pour moi d’adapter mon approche pour offrir une guidance qui soit vraiment en résonance avec la situation de la personne.

Le déroulement de la séance est donc très flexible. Certaines personnes viennent avec des questions précises, d’autres recherchent un éclairage général sur leur vie. Je m’adapte à chaque situation, en utilisant les méthodes les plus appropriées pour répondre à leurs attentes. L’essentiel est que chaque séance se déroule dans un climat de confiance et de respect, où la personne se sent libre de s’exprimer et où mes conseils sont donnés avec la plus grande sincérité. Mon objectif est toujours d’apporter des réponses claires, des perspectives nouvelles, et de laisser chaque client avec un sentiment de clarté et de sérénité

Quelle est la demande la plus inhabituelle que vous avez reçue ?

Eva cardini : Une des demandes les plus déroutantes que j’ai reçues provenait de personnes prêtes à investir des sommes colossales pour provoquer la mort d’un individu par le biais de pratiques occultes. Bien que ce type de sollicitation puisse exister dans certains cercles, pour moi, cela va bien au-delà de l’insolite : c’est une atteinte à mes principes les plus fondamentaux.

Je suis convaincue que la vie humaine est un sanctuaire inviolable. Personne n’a le droit de disposer de la vie d’autrui, et cela, même sous le prétexte de croyances ou de pouvoirs surnaturels. Cette notion de respect absolu de la vie est ancrée en moi, et c’est une ligne rouge que je ne franchirai jamais.

Lorsque je suis confrontée à ce genre de demandes, cela renforce ma conviction que l’éthique doit toujours prévaloir. Il est hors de question pour moi de cautionner ou d’encourager des actions qui exploitent les forces occultes à des fins destructrices. Je crois fermement que l’influence, quelle qu’elle soit, doit être utilisée pour élever, protéger, et jamais pour détruire.

En fin de compte, c’est une question de responsabilité. Le pouvoir, qu’il soit matériel ou spirituel, ne doit jamais être utilisé pour nuire à autrui. Je reste inébranlable dans mon engagement à défendre la vie, et à refuser toute implication dans des actes qui menacent cet équilibre sacré

Voyez-vous le passé de vos consultants ?

Eva cardini :
Oui, je m’intéresse au passé de mes consultants, mais uniquement lorsque cela peut servir leur évolution. Chaque personne porte en elle une histoire unique, faite de succès, de défis, de blessures, mais aussi de forces insoupçonnées. Mon rôle est de déceler ce qui, dans ce passé, peut devenir un levier de transformation. Je ne m’attarde pas sur les souvenirs pour le plaisir de les revisiter, mais pour y puiser des enseignements, des clés qui peuvent ouvrir des portes vers un avenir plus épanouissant. Le passé n’est jamais une fin en soi, il est un guide, une boussole qui permet de mieux comprendre le chemin à parcourir. En le comprenant et en l’intégrant, mes consultants peuvent se libérer de ce qui les freine et avancer avec plus de clarté et de sérénité vers leurs objectifs

Dans un monde où les réseaux sociaux sont omniprésents, vous avez décidé de ne pas y être active. Pouvez-vous expliquer pourquoi ? 

Eva cardini : Contrairement à ce que l’on pourrait penser, je n’éprouve aucun besoin de me mettre en avant sur les réseaux sociaux. Cela ne m’intéresse pas, tout simplement. La voyance n’est pas un jeu, ni un spectacle à offrir au public. Pour moi, elle représente une responsabilité sérieuse, une connexion profonde avec l’invisible, et non un outil de marketing ou de promotion personnelle.

Je crois fermement que les vrais voyants n’ont pas besoin de chercher à être validés ou glorifiés par une audience virtuelle. Ce n’est pas ma vision des choses, ni ma conception de ce métier, si l’on peut l’appeler ainsi. La voyance est avant tout un art subtil, une vocation qui exige humilité et intégrité. Elle ne doit pas être réduite à une simple mise en scène ou à une quête de popularité sur les réseaux sociaux.

En choisissant de rester en retrait de ces plateformes, je préserve la pureté et la sincérité de mon travail. Je préfère me concentrer sur l’essentiel : aider ceux qui viennent à moi avec des intentions sincères, en respectant la profondeur et la discrétion que ce domaine mérite. Mon objectif n’a jamais été d’accumuler des « likes » ou des « followers », mais d’accomplir mon travail avec la plus grande honnêteté et le plus grand respect pour ceux qui me font confiance.

Que pensez vous de la représentation de la voyance dans les médias 

Eva cardini :
La représentation de la voyance dans les médias, selon moi, est non seulement biaisée, mais elle est souvent réductrice et nuisible à la compréhension profonde de ce qu’est réellement cette pratique. Trop souvent, la voyance est dépeinte de manière caricaturale, presque grotesque, comme un simple divertissement ou, pire encore, comme un artifice théâtral destiné à manipuler ou à amuser. Cette perception fausse réduit une discipline ancienne et respectée à un jeu de devinettes, privant ainsi le public de la richesse et de la profondeur qu’elle peut offrir.

La voyance, loin d’être un simple spectacle, est une véritable pratique spirituelle et introspective qui demande rigueur, éthique et respect. Elle n’est pas destinée à satisfaire une curiosité superficielle, mais à offrir un éclairage, une guidance, à ceux qui cherchent des réponses profondes à des questions souvent complexes. Ce travail nécessite non seulement des compétences spécifiques, mais également une sensibilité particulière pour comprendre les subtilités des énergies en présence et les interpréter de manière juste et bienveillante.

Ce que les médias omettent de montrer, c’est la responsabilité immense que porte un voyant, ainsi que le respect et l’intégrité avec lesquels il doit aborder chaque consultation. En réduisant la voyance à un simple divertissement, on manque de reconnaître la dimension humaine, émotionnelle et même spirituelle qui est au cœur de cette pratique. Cette représentation erronée contribue à perpétuer une image stéréotypée qui, non seulement, discrédite les praticiens sérieux, mais détourne également le public de ce qui pourrait être une expérience profondément enrichissante.

Il est donc essentiel de redéfinir la perception de la voyance dans l’opinion publique, de la présenter non pas comme un artifice, mais comme un outil de connaissance de soi et de guidance spirituelle. Cela passe par une éducation des médias et du public, pour qu’ils puissent reconnaître et apprécier la valeur authentique de cette pratique ancestrale

Pensez-vous que votre choix de discrétion contribue à l’aura de mystère et de respect autour de votre pratique ?

Eva cardini :
Absolument. La discrétion joue indéniablement un rôle dans la création de cette aura de mystère, mais il est important de préciser que ce n’est pas mon objectif premier. Ce qui me tient le plus à cœur, c’est de préserver l’intégrité de ma pratique. Dans un domaine où la visibilité et la médiatisation peuvent parfois prendre le dessus sur l’authenticité, j’ai choisi de privilégier la sincérité et le respect envers mes clients.

Le respect que mes clients et mes pairs me témoignent découle de la confiance qu’ils ont en moi, une confiance construite au fil du temps, grâce à mon engagement à ne jamais chercher à me mettre en avant à tout prix. Je crois fermement que la véritable reconnaissance vient du travail lui-même, de l’impact qu’il a sur les autres, et non de la manière dont il est promu. Mon approche, centrée sur l’authenticité et la sincérité, est la fondation sur laquelle repose cette relation de confiance. Ainsi, c’est mon travail qui parle pour moi, et c’est de cette manière que je préfère être reconnue

Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui envisage de consulter un voyant pour la première fois ?

Eva cardini : À ceux qui consultent un voyant pour la première fois, je leur conseille avant tout d’écouter attentivement les conseils qui leur sont donnés, tout en gardant toujours à l’esprit que le destin leur appartient. Il est crucial de comprendre que la voyance n’est pas une fatalité gravée dans le marbre, mais plutôt un outil de guidance. Chaque individu conserve son libre arbitre et sa capacité à faire des choix. Les conseils d’un voyant peuvent offrir des perspectives précieuses, mais ils ne doivent jamais remplacer la responsabilité personnelle dans la prise de décisions. Garder cette autonomie est essentiel pour naviguer avec confiance dans la vie
 

Pour ceux qui cherchent à développer leur intuition, Eva Cardini, quelles pratiques ou méthodes recommanderiez-vous ?

Eva cardini :
Pour ceux qui souhaitent développer leur intuition ou leurs capacités spirituelles, je recommande de commencer par des exercices simples mais puissants. Par exemple, projetez-vous sur un événement qui doit se dérouler le lendemain ou le surlendemain. Cela vous permettra de tester et d’affiner votre capacité à anticiper ce qui pourrait se passer. Faites-le dans un cadre familial ou avec des proches, car cela vous aidera à vous concentrer sans pression extérieure, tout en vous donnant l’opportunité de valider vos ressentis dans un environnement de confiance. C’est un excellent point de départ pour quiconque souhaite renforcer son intuition, en s’appuyant sur des situations concrètes du quotidien 

Quand vous pensez à l’avenir, Eva Cardini, quels sont les projets ou objectifs qui vous tiennent à cœur ?

Eva cardini :
Je n’ai pas de projets figés, car je préfère me laisser porter par la vie et par les signes que me révèle la voyance. C’est une démarche qui peut sembler déconcertante, mais elle me permet de rester en harmonie avec le flux des événements et des opportunités qui se présentent à moi. Je crois profondément que la vie est un voyage imprévisible, et que la meilleure manière de l’aborder est de rester ouverte, réceptive aux intuitions et aux synchronicités. Plutôt que de me fixer des objectifs rigides, je choisis d’accueillir ce que l’avenir me réserve, en ayant confiance que chaque étape du chemin m’amènera exactement là où je dois être. C’est une approche qui me permet de vivre pleinement, avec authenticité et liberté, en restant fidèle à moi-même et à ma vision 

Comment souhaitez-vous que les gens se souviennent de vous ?

Eva cardini :
Je n’ai jamais cherché à ce que l’on se souvienne de moi. Mon but n’a jamais été de marquer l’histoire ou de laisser une empreinte dans l’esprit des gens. Ce qui compte pour moi, c’est l’authenticité de mon travail, la sincérité avec laquelle je l’accomplis, et l’impact qu’il peut avoir sur ceux qui viennent me consulter. Si mon travail a pu éclairer un chemin, apporter du réconfort ou aider à faire un choix difficile, alors c’est cela qui importe, bien plus que le souvenir de ma personne.

Comment et où peut-on vous contacter pour prendre rendez-vous avec vous ?

Eva cardini :
Pour me consulter, il vous suffit de prendre rendez-vous en appelant le 01 72 76 09 34. En réservant votre consultation via ce numéro, je vous recevrai dans les plus brefs délais pour une voyance privée, où nous pourrons aborder vos questions en toute confidentialité. Mon objectif est de vous offrir une guidance claire et personnalisée, adaptée à vos besoins