La face sombre des signes du zodiaque
Qu’on l’assume ou pas, nous avons tous un petit côté immoral. Nous n’y pouvons rien, nous sommes ainsi faits ! Aussi certaines personnes ont un penchant pour l’avarice, l’infidélité ou l’hypocrisie. D’autres méritent le césar de la mauvaise foi, de la luxure, ou excellent dans l’art du mensonge. Alors sur l’échelle de l’immoralité, quelle est votre spécialité ? Découvrez grâce (ou à cause) de votre signe astrologique, la face sombre de votre personnalité !
Bélier : la colère
Dire que vous êtes colérique est un euphémisme ! Si l’on vous cherche, on vous trouve. Et mieux vaut ne pas se frotter à la fureur d’un bélier en colère. Le bélier est un signe de feu au tempérament bien trempé. Il est imprévisible et totalement spontané dans ses actes et ses réactions. Aussi, lorsqu’on le chauffe, il peut rentrer dans des accès de rage hallucinants. Attention, chaud devant ! La délicatesse n’étant pas non plus son point fort, ne lui en veuillez pas pour ses paroles maladroites ou ses actes manqués. Cet adorable électron ne se rend absolument pas compte que certaines de ces attitudes peuvent blesser !
Parfois, le Bélier semble se délecter de la destruction, faisant valoir sa volonté sans se soucier des conséquences. L’égoïsme peut alors prendre le dessus, laissant de côté l’attention portée à autrui. Cette individualité exacerbée, couplée à une insensibilité apparente, renforce sa réputation d’électron libre peu préoccupé par les sentiments d’autrui.
Et que dire de sa rancune ? Quand le Bélier est blessé, il est capable de garder longtemps le souvenir de l’offense, rendant toute réconciliation difficile. Il faut dire que son orgueil, bien que caché derrière un air décontracté, est d’une fragilité extrême. Voilà qui ajoute une couche supplémentaire à la complexité du Bélier, créature de feu au cœur parfois glacé.
Taureau : L’avidité
On dit que le Taureau aime tout particulièrement le luxe et le confort. Une chose est certaine, vous concernant vous ne volez pas votre réussite. Vous la créez essentiellement à la sueur de votre front (ou de votre esprit). Certains pourraient reprocher au taureau une tendance à l’avidité. Avis à ses détracteurs : les commentaires peu élogieux lui font une belle jambe ! Son désir ardent est de multiplier les gains, afin de se mettre à l’abri du besoin, le reste lui importe peu ! Aussi, s’il parvient à construire sa vie sur ces bases essentielles, le taureau est sans le moindre doute le plus heureux du zodiaque.
Bien que ce désir d’abondance puisse sembler enviable, il cache une obsession parfois malsaine pour le matériel. En effet, le Taureau peut être si attaché à ses possessions qu’il en oublie la valeur des relations humaines. Lorsque le désir de confort devient une quête incessante de richesse, le Taureau peut en venir à négliger ceux qui lui sont proches.
D’autre part, ce besoin d’accumulation peut révéler une peur profonde de la précarité. Cette crainte peut le conduire à des actions peu recommandables pour assurer sa sécurité financière. Ce désir viscéral de stabilité matérielle peut alors se transformer en une véritable avarice. Le risque est alors de basculer dans un consumérisme effréné, où l’acquisition de biens supplante la recherche du bonheur véritable. Une telle approche de la vie peut conduire à un sentiment de vide et d’insatisfaction, malgré une apparence de réussite.
Gémeaux : l’opportunisme
Qui a décrété qu’être opportuniste c’était mal ? Le Gémeaux est libre comme l’air. Il navigue donc à contrevent sans aucun souci. Du moment où la direction indiquée peut servir vos intérêts, pourquoi vous en priver ? Mais après tout, on ne vit qu’une fois alors dans quelle mesure devrait-on s’attarder sur des broutilles ? Maître dans l’art de retourner sa veste, le Gémeaux sait s’adapter avec aisance à toutes sortes de situations. Ses valeurs morales n’ont pas de frontière, du moment qu’elles lui permettent d’être libre et heureux comme l’air. Le Gémeaux a aussi pour habitude d’enjoliver quelque peu les choses, les mettant ainsi à sa sauce. Soyez indulgent, que celui qui n’a jamais fauté lève la main…
La nature opportuniste du Gémeaux peut le pousser à abandonner ses engagements au gré de ses intérêts personnels. Cette inconstance peut susciter la défiance de son entourage qui ne sait jamais sur quel pied danser avec lui.
De plus, l’aptitude du Gémeaux à modifier ses valeurs en fonction des situations peut le rendre imprévisible, voire manipulable. Les « broutilles » qu’il néglige sont parfois des principes importants pour les autres. Son éthique flexible peut alors être perçue comme de l’irrespect ou de l’indifférence, ce qui peut lui valoir des ennuis.
Cancer : la mauvaise foi
La mauvaise foi est un art que le Cancer maîtrise à la perfection. Attention à ce que vous dites à un cancer, et surtout comment vous le lui dites ! Roi de l’autocomplaisance, ce natif est à prendre avec des pincettes. Non seulement celui-ci se vexe très facilement, mais il peut aussi faire preuve d’une mauvaise foi hallucinante. « Non ce n’est pas moi qui ai mangé le chocolat qui était sur la table ». « Si je t’ai envoyé le mail, c’est juste qu’il n’est pas passé ». « Non je vous assure que je n’ai pas grillé le feu monsieur l’agent ». Tel un enfant, le Cancer peut ne pas vouloir assumer sa faute. Parade ultime face aux accusations, sa mauvaise foi lui permet entre autres de se décharger de toutes responsabilités. Alors après tout nier un tout petit fait n’a jamais tué personne. Et si de surcroît, cela vous permet d’avoir gain de cause, où est le problème ?
Au lieu de reconnaître ses erreurs et de chercher à se racheter, le Cancer peut se renfermer dans un déni complet, refusant d’admettre la réalité même quand elle lui fait face. Ce comportement peut engendrer des conflits, voire des ruptures, avec les personnes qui l’entourent.
En esquivant constamment ses responsabilités, le Cancer se prive de l’opportunité de grandir et d’apprendre de ses erreurs. Ce comportement peut stagner son développement personnel et limiter sa capacité à progresser dans la vie. Il peut donc se retrouver coincé dans une boucle de déni et de complaisance qui nuit à son épanouissement.
Lion : l’orgueil
Vous avez pour réputation d’avoir un ego XXL, et alors ? Ce n’est pas un crime de s’aimer. Le lion est sans aucun doute le plus vaniteux du zodiaque, et sa superbe n’a d’égal que son intelligence. Susciter le respect et l’admiration des foules est inscrit dans les gènes du roi du zodiaque, il ne peut en être autrement. Orgueilleux au possible, il est capable de tout pour sauver les apparences, et ainsi conserver la haute opinion que les autres ont de lui. Ceci dit, avoir une bonne opinion de sa personne ouvre pas mal de portes, alors concrètement, où est le mal ?
Ce narcissisme exacerbé peut évidemment se révéler problématique. A force de chercher l’attention, le Lion peut se montrer égoïste, mettant ses propres désirs avant ceux des autres. Cette attitude peut lui faire perdre de vue la notion de partage. Un compliment oublié, une critique mal interprétée, et le Lion peut se sentir blessé, menaçant la stabilité de ses relations. Ce besoin constant de validation peut devenir un fardeau ! Car l’obsession du Lion à maintenir les apparences peut conduire à un manque d’authenticité. L’image qu’il présente au monde peut s’éloigner de sa véritable personnalité, créant un décalage parfois difficile à gérer. Sa vanité peut ainsi lui faire perdre de vue qui il est vraiment, et ce qu’il veut réellement. Le Lion peut alors se retrouver prisonnier de son propre reflet, un roi déchu de son royaume intérieur.
Vierge : l’avarice
À celles et ceux qui auraient tendance à vous prendre pour un pingre : vous répondez que vous êtes simplement un excellent gestionnaire qui prévoit l’avenir sur du long terme. Nuance subtile, le fait est que vous n’aimez tout simplement pas être dans le rouge ! C’est la seule raison pour laquelle vous comptez vos euros aux centimes près, quoi d’autre ? On n’est jamais assez prudent et croyez-moi, la vierge terrienne est un excellent professeur. Celle-ci pourrait vous donner des leçons d’épargne digne des plus grands ténors de la finance !
Cette habitude de compter chaque centime peut parfois donner lieu à un comportement étriqué et étouffant. La Vierge, dans sa recherche constante d’économies, peut se priver des petits plaisirs qui rendent la vie agréable.
En plus, cette obsession de l’épargne peut cacher une peur profonde, qui peut devenir paralysante. La Vierge peut ainsi se retrouver dans une spirale d’anxiété et de contrôle excessif. Elle délaisse des aspects importants de sa vie pour se concentrer uniquement sur ses finances.
Ainsi, derrière la façade de gestionnaire avisée de la Vierge, se cache une peur du manque et un besoin de sécurité. Elle doit veiller à ne pas être esclave de ses propres économies.
Balance : le narcissisme
Centrer votre attention sur vous-même est indéniablement ce que vous savez faire de mieux. Passage obligé, quand on sait que plaire au plus grand nombre est votre gymnastique préférée. Et oui, que voulez-vous, on ne se refait pas ! La Balance est en ce sens une esthète qui aime sentir sur elle les regards approbateurs et admiratifs. C’en est même pathologique. Accro à son apparence et à ses attitudes, elle a besoin de savoir qu’elle est aimée et admirée pour vivre en totale harmonie. Sans cela, elle est incapable d’avancer sereinement dans la vie. Alors certes, la Balance est peut-être un poil narcissique, mais comprenez bien que c’est pour la bonne cause !
La Balance peut se retrouver à sacrifier ses propres désirs et besoins pour plaire aux autres. Cette quête perpétuelle de validation peut l’amener à négliger sa propre identité, jusqu’à se perdre elle-même.
Sans compter que ce besoin constant d’admiration peut la rendre vulnérable aux critiques, même les plus constructives ! Une remarque maladroite peut lui causer une profonde blessure émotionnelle, perturbant son équilibre et son bien-être.
Cette dépendance à l’approbation des autres peut se transformer en un miroir déformant : la Balance peut finir par se voir uniquement à travers le regard des autres, perdant de vue son propre reflet. Ce mode de vie peut mener à un sentiment de vide et d’insatisfaction, malgré une apparente popularité.
Scorpion : la luxure
Votre péché mignon à vous c’est la luxure. Et alors ? Aimer les bonnes choses de ce monde n’est pas un crime ! L’idée de concept n’existe pas en matière de pratique sexuelle chez le scorpion. Il est ainsi fait et ne s’en cache absolument pas. Manipulateur et excessif, ce natif emballe grâce à son puissant charisme. Cependant, il lui arrive de penser avant tout à lui et à son petit plaisir. Mais après tout, nous avons tous nos petits travers…
Cette propension à l’excès peut mener le Scorpion à des situations compliquées. Sa soif de plaisirs peut l’amener à négliger les sentiments de ses partenaires, créant des tensions et des conflits. Cette obsession de la luxure peut devenir une véritable dépendance, qui rend toute relation saine difficile à maintenir.
Le Scorpion peut aussi utiliser son charme pour manipuler les autres à des fins égoïstes. Ce comportement peut causer du tort à ceux qui l’entourent, et finalement l’isoler. L’attrait irrésistible qu’il exerce peut se transformer en un piège autodestructeur !
Sagittaire : le mensonge
Vous êtes un as du bluff, capable de faire avaler des couleuvres à n’importe qui ! Le Sagittaire n’en déplaise à certains, possède un petit côté m’as-tu-vu, ainsi qu’une bonne opinion de lui-même. C’est pourquoi pour dorer son image celui-ci se laisse parfois aller à l’exagération, voire à la mythomanie. Le mensonge est un art qui demande agilité d’esprit et maîtrise. Aucun problème pour le Sagittaire, qui gère la discipline avec un naturel et une aisance déconcertante. Après tout, un mensonge répété de multiples fois finira bien par devenir une vérité !
Cette tendance au mensonge peut mener le Sagittaire à des situations délicates. En effet, un mensonge en entraîne souvent un autre, et le Sagittaire peut se retrouver pris dans une toile d’illusions de sa propre création. Cela peut entraîner des conflits et des malentendus. En embellissant constamment la réalité, le Sagittaire évite de faire face à ses propres échecs ou difficultés. Cela peut le rendre incapable de gérer des situations difficiles, ou de tirer les leçons nécessaires de ses erreurs.
Le Sagittaire, maître de l’illusion, peut finir par être trahi par ses propres mensonges, perdant à la fois sa crédibilité et la confiance des autres.
Capricorne : la cupidité
La frontière entre ambition et cupidité est parfois très mince. Le Capricorne a pour réputation d’être attiré par l’amour du gain. À celles et ceux qui pourraient prendre votre attitude pour de la cupidité, vous répondez simplement que « chacun voit midi à sa porte ! » Le Capricorne est une véritable calculatrice ambulante ! Toujours en action, il évalue avec pragmatisme tout ce qui est susceptible de lui rapporter. Ce qu’il risque, ce que ça va lui coûter, les bénéfices qu’il peut en tirer, etc. Même lorsqu’il dort, il compte et analyse ! Après tout dans la vie on n’obtient rien sans rien, et ça, le vaillant Capricorne l’a très bien compris !
Cette obsession pour le gain peut rendre le Capricorne insensible aux émotions et aux besoins des autres. Son pragmatisme et son calcul constant peuvent l’empêcher d’apprécier les moments simples et spontanés de la vie.
Pire encore, cette cupidité peut l’aveugler et le pousser à faire des choix risqués ou immoraux. Le Capricorne peut être tenté de sacrifier ses principes ou son intégrité pour obtenir ce qu’il veut. À long terme, cela peut nuire à sa réputation et à sa propre estime de soi.
L’ambition sans frein du Capricorne peut se transformer en une cupidité destructrice, et l’éloigner des véritables richesses de la vie.
Verseau : l’égocentrisme
Malgré un tempérament généreux, le moins que l’on puisse dire c’est que le Verseau n’est pas à proprement dit « le roi de l’empathie ! » Néanmoins, si le fait de penser à soi est perçu comme une forme d’égocentrisme, alors vous acceptez volontiers l’étiquette. Parce que oui, n’en déplaise à certains, votre plus grand souci c’est vous ! Le Verseau se considère en quelque sorte comme le VIP du zodiaque. Il aime plus que tout être perçu comme la personne à suivre et à admirer. Alors, s’il ramène tout à lui soyez un peu indulgent. Il est ainsi fait et c’est comme ça qu’on l’aime !
Cet égocentrisme peut se manifester par un manque de considération pour les sentiments des autres. Le Verseau, concentré sur lui-même, peut parfois blesser ses proches sans s’en rendre compte, en négligeant leurs sentiments et leurs besoins. Ce comportement peut donner une image négative du Verseau.
En cherchant constamment à être le centre d’attention, il risque de créer un sentiment d’isolement autour de lui. Son égocentrisme peut finir par le priver des relations authentiques et sincères dont il a besoin pour être véritablement heureux.
Poissons : la paresse
Qui a dit que la paresse était immorale ? Si l’on a plus le droit de décompresser ou va-t-on ? Roi de la procrastination, le poisson excelle en effet dans l’art de se débarrasser des tâches rébarbatives qui lui incombent. Il a bien mieux à faire, comme par exemple rêver, laisser libre cours à son imagination et vivre tel un dieu de l’Olympe. C’est pourquoi avec tact et finesse, il délègue dans de nombreux domaines afin de se consacrer à l’essentiel : j’ai nommé sa tranquillité !
Cette paresse peut être l’ennemie du progrès et de la productivité. Le Poissons, en remettant toujours tout au lendemain, laisse échapper des opportunités importantes et ralentit sa progression personnelle ou professionnelle. Ses rêves et ses ambitions peuvent ainsi rester à l’état de projets, faute d’actions concrètes pour les réaliser.
Ainsi, le Poissons doit trouver un équilibre entre le besoin de repos et l’importance de l’action pour une vie épanouissante.
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