
Céline Aurel se livre pour la première fois : une interview à ne pas manquer
Pour la première fois, Céline Aurel, médium au sein de KLD Voyance, accepte de partager un chemin que peu auraient eu la patience de suivre.
Il y a des personnes dont le parcours ne ressemble à rien de connu. Pas parce qu’il est spectaculaire, mais parce qu’il s’est construit en dehors des sentiers, loin du bruit, parfois même à contre-courant de leur propre volonté.
Céline Aurel fait partie de ces trajectoires-là.
Depuis l’enfance, elle perçoit ce que d’autres ne voient pas. Elle ressent, elle capte, elle sait. Non pas de façon théorique ou acquise, mais de manière brute, profonde, souvent dérangeante. Longtemps, elle n’en a rien fait. Par choix, par pudeur, par instinct aussi. Parce qu’elle savait que ce n’était pas encore le moment.
Ce n’est qu’après des années d’introspection, de décalages vécus dans le monde du travail, de silences familiaux, de signaux répétés — parfois insistants — qu’elle comprend que ce don, qu’elle appelait à peine ainsi, n’est pas là par hasard.
Aujourd’hui, Céline est l’une des voix les plus discrètes mais les plus marquantes du cabinet KLD Voyance.
Sa manière de travailler est à son image : sans artifice, sans mise en scène, mais avec une précision qui, très souvent, désarme. Ce qu’elle capte, elle ne le cherche pas. Ça vient. Et elle le transmet comme ça lui vient, sans détour.
Dans cet entretien, elle revient pour la première fois sur ce qui a façonné sa médiumnité : l’enfance, les premiers signes, les résistances, l’acceptation, et ce moment où tout s’aligne enfin.
Ce n’est pas une success story. C’est un parcours. Une traversée.
Et pour ceux qui savent lire entre les lignes, une véritable leçon de justesse.
Céline Aurel, vous êtes aujourd’hui reconnue pour la justesse de vos ressentis. Pouvez-vous nous raconter comment tout a commencé pour vous ?
Céline Aurel :
Je fais face aux premiers phénomènes vers mes 11 ans.
Premiers messages, premières apparitions un soir… Je n’oublierai jamais cette immense lueur blanche.
C’était fort, c’était beau, mais je ne comprenais pas ce qu’il se passait. J’avais cette impression étrange que tout autour de moi changeait sans que je puisse l’expliquer.
Je me souviens aussi que certaines voix me faisaient du bien… J’aurais pu les écouter des heures, comme si elles calmaient quelque chose en moi. D’autres, au contraire, m’agressaient presque. C’est toujours le cas aujourd’hui d’ailleurs. C’est comme si mon corps réagissait à l’âme derrière la voix.
À l’époque, je gardais tout pour moi. Je ne pouvais pas trop en parler, surtout pas à mon père. Il n’aurait pas toléré ce genre de choses.
C’est vers mes 15 ans que j’entends pour la première fois ma mère parler de médiumnité. Elle me dit qu’elle consulte de temps en temps, qu’elle croit en ces choses-là… Elle ajoute que tout le monde, selon elle, a ce don. Et que dans la famille, mon arrière-grand-mère était guérisseuse. Ce jour-là, j’ai senti que ce que je vivais n’était pas une folie, ni un hasard.
Vers 19 ans, je deviens complètement obsédée par les signes astrologiques. Dès que je rencontre quelqu’un, il me faut son signe. Je ne sais pas trop pourquoi, mais c’est plus fort que moi. En parallèle, je touche à la cartomancie, un peu par curiosité. Rien de sérieux à ce moment-là…
Et puis je rentre dans le monde du travail. Et là, quelque chose en moi s’éteint. Je ressens une sorte de mal-être permanent… C’est difficile à expliquer. J’allais bien sur le papier, mais selon les gens autour de moi, je me sentais vide ou épuisée. J’étais en train de me couper de qui j’étais, sans le savoir.
Vous évoquez souvent un mal-être que vous ressentiez plus jeune, notamment dans votre environnement professionnel. Diriez-vous que cela a été un moteur pour mieux comprendre votre don ?
Céline Aurel :
Oui, je pense que ce mal-être, il avait un sens. C’était comme si je n’étais jamais vraiment à ma place.
Je faisais ce qu’il fallait faire, je travaillais, je donnais le change… Mais à l’intérieur, quelque chose sonnait faux. Selon les personnes avec qui j’étais, je me sentais bien… ou au contraire, vidée. Et ça revenait tout le temps.
Je ne savais pas encore que c’étaient mes ressentis qui parlaient. Que ce que je captais, ce n’était pas juste des impressions, mais bien quelque chose de plus profond.
C’est là que mes guides ont commencé à insister. Ils me mettaient des messages en boucle dans la tête. Toujours le même : « Il faut que tu comprennes. Il faut que tu pratiques. »
Je ne savais pas comment faire, alors je repoussais. Je continuais ma vie dans le commerce, mais je m’ennuyais. Rien ne me nourrissait vraiment.
À côté de ça, je me suis mise à m’intéresser à la psychologie, aux neurosciences. C’était comme une obsession. J’avais besoin de comprendre l’humain, ce qui se passe dans la tête, dans les émotions… Avec le recul, je sais que c’était déjà ma médiumnité qui cherchait à s’exprimer autrement. Par les sciences, par des choses « logiques », parce que je n’osais pas encore assumer le reste.
Pendant longtemps, je faisais un peu de cartomancie autour de moi, pour des proches… mais sans jamais aller au bout. Je n’étais pas prête. Pas encore.
Quand avez-vous compris que la médiumnité n’était pas juste une sensibilité, mais une véritable mission ?
Céline Aurel :
Je dirais que tout a pris sens vers mes 38 ans.
J’étais en vacances dans ma famille, et là, comme poussée par quelque chose de plus grand que moi, je ressens le besoin de ressortir mes cartes. Pas n’importe lesquelles… Les cartes classiques. Celles qui, depuis toujours, m’appellent sans que je sache vraiment pourquoi.
Ce jour-là, en les touchant, j’ai senti comme une reconnexion immédiate. J’avais besoin de les avoir en main pour garder cette confiance envers la clairaudience. Comme si c’était un lien d’ancrage, quelque chose qui me stabilisait. Et là, tout s’est aligné.
Je me suis dit : « Voilà. C’est ça. C’est ce que je dois faire. »
C’était clair, évident. Je ne doutais plus. J’étais enfin dans l’acceptation. L’acceptation de ma mission ici. Guider. Aider. Mettre mes ressentis, mes messages, au service de l’autre. C’était fort. Apaisant. Comme si je respirais pleinement pour la première fois.
Même mon père, qui avait toujours été fermé à tout ça, a fini par changer.
On a eu des discussions, il a vu certains faits troublants… Je me souviens d’un incendie qui l’a touché, et dont j’avais été prévenue en avance. Petit à petit, il a commencé à accepter ma nouvelle voie. Et pour moi, c’était important. J’avais besoin de cette reconnaissance, je crois, pour vraiment m’autoriser à y aller.
À partir de là, tout s’est accéléré. Mes capacités ont évolué, mes visions sont devenues plus précises. Et surtout, j’ai commencé à recevoir de nombreux retours.
Avec le recul, je pense que j’avais besoin de toutes ces années avant pour être prête. Comme des étapes obligatoires à franchir. Pour comprendre, pour intégrer, pour pouvoir transmettre avec justesse.
On sent chez vous une forte volonté de rester connectée à la réalité, malgré vos dons. Comment cela se manifeste dans vos consultations ?
Céline Aurel :
Je ne suis pas là pour dire aux gens quoi faire. Ce n’est pas mon rôle, et ce n’est pas ce que je cherche.
Je le dis souvent : une consultation médiumnique peut vous éclairer, oui… mais les choix vous appartiennent. Toujours.
Je fonctionne beaucoup à l’écoute. Chaque personne qui me contacte a une histoire, un ressenti, une énergie. Moi, je me connecte à tout ça, je capte ce qui est là, ce qui vient, ce qui bloque parfois…
Les messages arrivent par clairaudience, c’est mon canal principal. Mais j’ai aussi besoin de mes cartes classiques, que je touche, que je pose. Elles m’aident à me centrer, à ancrer ce que je perçois. Ce n’est pas un rituel, c’est un repère.
Je travaille avec ce que je reçois, mais je ne suis jamais dans l’imposition. Je transmets ce que l’on me montre, je le dis avec sincérité, même si parfois cela peut être un peu déroutant.
Mais je n’oublie jamais que la personne en face a son libre arbitre, ses décisions à prendre. Je suis là pour éclairer, pas pour diriger.
Et je pense que c’est pour ça que mes consultations touchent autant : elles sont simples, vraies, sans chichi. Juste moi, mes ressentis… et le respect total de l’autre.
• Temps de communication limité
• Peut impliquer un temps d'attente si l'expert est déjà en ligne
• Minutes de communication prélevées sur facture téléphonique
Vous avez toujours été attirée par la psychologie et les neurosciences. Est-ce que cela influence votre pratique aujourd’hui ?
Céline Aurel :
Oui, énormément.
Je crois que tout est lié. Le mental, l’émotionnel, l’énergétique… Il n’y a pas de frontière entre ces mondes-là.
Quand je me suis plongée dans la psychologie, puis dans les neurosciences, ce n’était pas par hasard. C’était une vraie fascination. J’avais besoin de comprendre les mécanismes de l’esprit humain, les blessures, les réactions, les fonctionnements inconscients. Ça m’a aidée à mieux cerner les gens, à mieux les accompagner aussi.
Parce que parfois, ce que l’on capte en tant que médium, ce sont des émotions figées, des peurs anciennes, des schémas répétitifs. Et si on ne comprend pas ça, on peut passer à côté de l’essentiel.
Je n’ai jamais voulu être « juste » une médium qui donne des infos. Ce que je veux, c’est que la personne en face de moi reparte avec une vraie compréhension de ce qu’elle vit.
Et ça passe aussi par cette vision plus humaine, plus psychologique. Je ne me contente pas de transmettre un message. J’essaie de l’amener au bon endroit, avec les bons mots, au bon moment.
C’est une sorte d’équilibre. Mon don me guide, mais mes lectures, mes recherches, mes expériences viennent compléter tout ça.
Et je pense que c’est cette double approche qui fait que les gens se sentent écoutés, compris, mais aussi responsabilisés.
Selon vous, qu’attendent aujourd’hui les personnes qui viennent consulter une médium ? Et qu’est-ce que vous, Céline, vous leur apportez ?
Céline Aurel :
Aujourd’hui, les gens viennent parce qu’ils sont à un carrefour.
Parfois, ils ne savent pas pourquoi ils vont mal. D’autres fois, ils sentent qu’ils doivent changer quelque chose, mais ils ne savent ni quoi, ni comment.
Il y a aussi ceux qui ont tout essayé — la logique, les conseils, les proches — mais rien ne résonne vraiment.
Ce que je leur apporte, c’est une vision globale, différente.
Je capte ce qui est là, mais aussi ce qui se dessine. J’entends ce qui n’est pas dit. Je ressens ce que la personne n’ose pas encore affronter.
Je vois souvent plus loin qu’elle-même, au-delà de ses doutes ou de ses résistances. Et ça, c’est ce qui lui permet de se repositionner, de faire un choix plus aligné avec ce qu’elle est vraiment.
Je reçois des messages très clairs, très précis, parfois des images, parfois des mots, qui viennent éclairer des zones floues. Ce n’est pas juste une validation de ce qu’elle pressent : c’est une révélation, parfois un électrochoc.
Mais toujours dans le respect. Toujours dans l’écoute. Je ne pousse jamais. Je propose, je montre, et chacun fait ensuite son chemin.
Et puis il y a les détails. Les choses très concrètes. Des dates, des situations, des lieux, des phrases entendues… Ce sont ces éléments-là qui font la différence. Ce n’est pas “du ressenti vague”. C’est ciblé, c’est précis, et surtout, ça aide à avancer.
Je ne suis pas là pour rassurer à tout prix. Je suis là pour dire ce que je reçois. Et souvent, ça permet à la personne de reprendre le pouvoir sur sa vie, avec clarté. C’est ça, ma mission.
Vous avez mentionné un moment marquant avec votre père, longtemps sceptique. Est-ce que cela a représenté une forme de validation pour vous ?
Céline Aurel :
Oui… ça a été un vrai tournant, à la fois personnel et symbolique.
Mon père n’a jamais été fermé d’esprit, mais ce que je vivais, ce que je ressentais… c’était trop loin de ses repères. Il ne pouvait pas l’entendre.
Donc pendant des années, je n’en parlais pas. Je faisais tout en silence. C’était lourd, parfois. Comme si je portais quelque chose de beau, mais que je devais le cacher.
Et puis un jour, tout a changé.
Je me souviens très bien : j’étais venue passer quelques jours en famille, et j’ai eu une information très nette, très directe sur un incendie. Quelque chose qui allait le toucher, lui. Je le savais, c’était là, en boucle dans ma tête.
Je lui ai dit. Calmement, sans insister.
Et quelques jours plus tard… ça s’est produit, exactement comme je l’avais reçu.
Je crois que ce jour-là, il a compris. Il a vu que ce n’était pas une « lubie » ou un jeu. Il a vu que ce don était réel, et surtout qu’il pouvait aussi protéger.
À partir de là, on a pu parler. J’ai senti qu’il m’écoutait différemment. Il ne comprenait pas tout, mais il respectait. Et ça, pour moi, c’était énorme.
C’était comme si l’univers m’avait offert ce moment pour que je puisse, enfin, poser ce que je suis sans devoir me justifier. Ça m’a permis d’aller encore plus loin dans mon cheminement, plus alignée, plus libre. Et d’assumer, pleinement, que c’était ça, ma place.
Pour ceux qui n’ont jamais consulté de médium, comment se passe une séance avec vous ?
Céline Aurel :
Une séance avec moi, c’est d’abord une rencontre.
Je ne suis pas là pour réciter des choses toutes faites ou rassurer à tout prix. Je suis là pour vous transmettre ce que je reçois, avec honnêteté et justesse.
Je commence toujours par ressentir. Il y a des mots, des sensations, des informations qui arrivent rapidement. Parfois avant même que la personne parle.
Je me connecte à ce qu’elle dégage, à ce qui l’entoure. Et je dis ce que je capte. Sans détour, mais toujours avec respect.
Mes cartes, ce sont les cartes classiques. J’en ai toujours eu besoin. Les toucher, les mélanger, les poser… c’est comme un fil conducteur. Elles m’aident à canaliser ce que j’entends. Elles viennent souvent confirmer ce que j’ai déjà reçu en clairaudience.
La personne peut poser ses questions, bien sûr. Mais souvent, les réponses arrivent avant.
Je parle de ce que je vois, de ce que j’entends, de ce qui est là… parfois même de ce qui arrive.
Il y a des détails très concrets : des descriptions, des chiffres, des lieux, des émotions très précises. Et ce sont souvent ces détails qui provoquent un vrai déclic.
Chaque séance est différente, parce que chaque personne est unique.
Mais ce que je cherche toujours, c’est que la personne reparte avec une clarté. Qu’elle voie plus loin, autrement.
Pas seulement « ce qui va se passer », mais surtout comment elle peut avancer avec ce qu’elle est en train de vivre.
Je ne suis pas là pour faire rêver. Je suis là pour guider, éclairer, mettre du sens.
Et parfois, ça suffit à tout changer.
Comment peut-on vous consulter sur KLD Voyance ?
Céline Aurel :
Vous pouvez me consulter avec ou sans rendez-vous, en fonction de ce qui vous convient le mieux.
Tout se fait par téléphone, dans un cadre confidentiel, au calme, et à votre rythme.
Il suffit d’appeler le 01 72 76 09 34. Vous serez mis en relation avec moi dès que je suis disponible.
Je vous écoute, je me connecte à ce que je ressens, et je vous transmets ce que je capte, toujours avec sincérité.
Et si c’est votre première consultation avec un expert du cabinet KLD Voyance, vous pouvez bénéficier de -25% sur la séance.
Il vous suffit simplement de donner le code KLD au moment de la réservation.
Merci pour votre temps, Céline. On vous laisse le mot de la fin.
Céline Aurel :
Merci de m’avoir reçue, et merci à vous de m’avoir lue.
Prenez soin de vous…
Et surtout, écoutez votre voix intérieure.
Faites confiance à ce que vous ressentez… c’est souvent là que commencent les vraies réponses.